23 juil. 2014

De Mossoul à Sarcelles (via Oradour)



L'archevêché de Mossoul a été incendié samedi dernier par les zélotes de « la religion d'amour et de paix » (selon Manuel Valls). Les chrétiens de la ville (ils étaient encore 25.000 jeudi) fuient en masse vers le proche Kurdistan. Ils avaient été sommés la semaine précédente de se convertir ou de payer un tribut, sous la menace du sabre en cas de résistance. 

Dans ces régions où ils étaient présents bien avant le premier couinement de la première chèvre violée par Mahomet, des chrétiens sont aujourd'hui spoliés, chassés, quand ils ne sont pas éliminés sans la moindre distinction de sexe ou d'âge, d'une manière pas toujours très présentable, même pour les cœurs bien accrochés. Leur crime ? Ils sont chrétiens, donc infidèles. Et dans le monde nuancé de l'islam, l'infidèle doit périr, s'il ne se convertit pas ou refuse de se soumettre. Ainsi perd-on la tête, parfois. 

Qu'on les nomme islamistes, salafistes ou djihadistes, ces barbares sont la lie putréfiée de l'humanité. Il n'y a pas à discuter avec ces monstres. Inutile d'attendre d'eux la moindre réflexion, le moindre scrupule ou compassion, le plus petit remords, ni l'ombre d'une quelconque résipiscence. Cessons de croire, naïfs, idiots que nous sommes, qu'ils nous ressemblent et puissent être rendus à la raison. Ce sont des fous, et ils sont nombreux, et forts. Des fous déchaînés, des empoisonnés de Dieu. Ils ne sont forts que parce que nous sommes faibles, et leur religion de mort prospère sur les larmes d'un christianisme rangé des conquêtes, embourgeoisé.

Que leur opposons-nous ? Des prières — pour ceux qui croient et poussent le bouchon jusqu'à entrer parfois dans des églises pour un motif autre que les vitraux, les statues ou le mobilier religieux. La prière, ou la parole muette de l'impuissance... Eux prient, moi je tonne. C'est le même dégueulis de mots et le même prurit verbal. Les zélotes d'Allah parlent avec le couteau et on les écoute, on les entend.

Si j'avais un quelconque pouvoir, j'ordonnerais le feu nucléaire pour nettoyer le monde de cette plaie. 

Vous me direz qu'une tapette suffit pour écraser les mouches. S'ils n'étaient que des mouches ! Ce sont des frelons, chacun de la taille d'un aigle, dont le venin est dix fois plus puissant que celui de cent cobras enragés. Rangez votre tapette ridicule et cessez de considérer comme des humains ceux qui n'ont d'humain que l'apparence. Hitler pouvait rire, plaisanter, admirer un paysage, une œuvre d'art, respirer le parfum d'une fleur, apprécier un air de musique, chantonner, etc. Il avait au moins ça d'humain. Ça ne l'exonère d'aucun crime et ça ne minore pas l'horreur de son projet. Mais il était des nôtres, parmi nous, enfui de nous plus tard, parti à l'opposé de la raison, au nom d'une rationalité érigée en système, en dogme, en religion. A-t-on déjà vu rire un djihadiste ? Ricaner, oui, en exhibant la tête fraîchement tranchée d'un infidèle ou d'un musulman à la ferveur douteuse. Imagine-t-on un salafiste faisant des blagues, genre contraindre un chrétien à s'asseoir sur une chaise garnie d'un coussin péteur ? Quant aux œuvres d'art, on sait quel sort les attend quand l'islamiste, barbe noire en avant et kami souillé du sang rouge encore de sa dernière victime, pointe son nez. Les Bouddhas de Bâmiyân l'ont su, hélas ! Récemment, on a pu voir les images d'une statue assyrienne démolie à coup de masse par un de ces dégénérés furieux, tout fier de son massacre, parce que pour ces bactéries-là tout ce qui rappelle l'humain et la trace divine qu'il porte en lui doit être anéanti, car susceptible de distraire le croyant de sa piété (tout créateur assume une part divine qui le signale comme un concurrent de Dieu, un concurrent bénin, à la mesure de l'homme, parfaitement conscient de n'être que ça, même chez un hâbleur tel que Dali, qui était aussi un comédien, un fou au délire maîtrisé). Demain, soyez-en avertis, ils seront devant Notre-Dame avec la tractopelle et vos cris et vos larmes n'y pourront rien changer. Ni vos prières.

Considérez un peu le nombre de dictateurs, grands et petits, que la terre a vu passer. Tous ont été, plus ou moins, amateurs d'art et de frivolités. On aime à croire qu'ils avaient des goûts de chiottes, pour leur dénier tout voisinage avec l'humanité telle que nous la concevons : urbanité, exquisité et sûreté du goût, délicatesse, bon sens, mesure, etc. S'ils étaient comme nous, nous serions un peu eux, au moins virtuellement, suspects de complicité même inconsciente, susceptibles donc de basculer dans la folie meurtrière, nous aussi. « Hitler ne peut pas avoir aimé Bach ! » s'emporte Aline, indignée. Qu'en savons-nous ? S'il eût aimé Bach, ça ne fait pas de Bach un musicien fasciste, ni de ceux qui aiment Bach dans la foulée du Führer des complices du nazisme, mais ça consigne Hitler parmi les hommes et non parmi des entités extraterrestres. Tous ces dictateurs, y compris les plus sanglants, étaient des hommes, par cette disposition qu'ont les hommes de goûter les fruits de la création artistique, même quand ils sont amers. Une fois encore, ce n'est en aucun cas une circonstance atténuante. Démembrer sa femme au couteau de cuisine dans la baignoire sur un fond tonitruant de Vivaldi ne rend pas la boucherie plus aimable.

C'est humain de torgnoler un moutard impossible. C'est humain d'avoir envie de tuer une personne qui nous fait souffrir ou de la désirer morte. C'est humain de souhaiter que soient pendus ministres, juges et banquiers, et ce l'est encore de rire d'un pauvre hère qui se casse la pipe (c'est la situation qui fait rire, pas l'individu). Mais est-ce humain de suriner un inconnu parce qu'il porte un chapeau rond, une rosette à la boutonnière, des lunettes, un kilt ? — parce qu'il vous refuse la clope qu'il n'a pas ou n'obtempère pas à l'humiliation gratuite à quoi vous voulez le soumettre ? Est-ce humain de violer une octogénaire, de torturer un chaton, de tuer pour dix sous qu'on ira boire ou de défoncer le crâne d'un type qui photographie un réverbère, avec la circonstance aggravante et fatale pour lui qu'il le fait dans votre quartier ? Est-ce humain, pour conclure la litanie, de sortir de chez soi un beau matin avec une ceinture d'explosifs pour aller se faire sauter dans un bus bondé, tout cela au nom d'un idéal politique ou religieux ?

Et qu'on ne vienne pas me chanter comme quoi le déni de l'humanité de ceux qu'ils éliminaient était précisément par quoi se signalaient les Nazis, pour couper court à tout émoi psychologique, empêcher le vague à l'âme, écarter la menace du scrupule suspensif, tout flottement de la détermination dans l'exécution de la sombre tâche, rendre enfin plausible l'insupportable. Je ne parle pas d'éradiquer du monde des gens paisibles ou trop ceci ou pas assez cela. Je ne parle pas de noyer les roux, les chauves ou les canailles à gros bide, au seul motif qu'ils sont cela et que j'en ai la sainte horreur. Je parle d'éliminer impitoyablement, par les moyens que j'ai dit, la pourriture islamiste et tout ce qui hait au nom cent fois maudit, mille fois ignoble, d'Allah. On peut très bien ne pas aimer les Juifs ou la judéité sans pour autant planifier un génocide. Il ne s'agit pas de vengeance, mais de prophylaxie. On tolère l'existence des scorpions et des serpents les plus venimeux, des araignées à la piqûre mortelle et autres sales bêtes ailées ou non. Nul ne demande qu'on débarrasse la planète de ces créatures peu amènes, du moins tant qu'elles ne se mettent pas à proliférer et à tout infester, nuire gravement aux autres espèces, mettre en péril l'existence même de tout ce qui n'est pas scorpion, ni serpent parmi les plus venimeux, ni araignée à la redoutable piqûre. Ce n'est donc pas au nom de ma détestation personnelle, mais à celui de l'humanité, de l'espèce, que je prône l'anéantissement des assassins se réclamant d'Allah et du Coran.

Je ne suis pas décidé à faire la part des choses, à relativiser, à séparer le bon grain musulman, tout beau, tout gentil, fréquentable, de l'ivraie qui serait le modèle perverti du premier, comme il y a d'un côté les femmes et de l'autre les putes. Je les mets tous dans le même panier, je scelle le couvercle du panier et je vous balance tout ça dans un volcan en ébullition, pour ne pas polluer l'océan davantage qu'il ne l'est. Je ne suis pas venu ici pour répandre une confiture poisseuse de bons sentiments et de réflexions pondérées. Je ne suis pas venu pour assurer le musulman de base, qui n'emmerde personne et n'exige pas que je bannisse le porc de mon alimentation, de ma fraternelle sympathie, ni pour lui dégueuler à la face tout le miel de mon hypocrisie avec des propos du genre : « L'islam est une religion de tolérance, d'amour et de paix, malheureusement pervertie par une poignée d'inconséquents. » Je suis venu dire que l'islam, modéré ou non, n'a pas sa place chez nous, en Occident, pas plus qu'un éléphant dans un magasin de porcelaines. Nous n'avons pas besoin de lui, et comme il semble nous haïr à un point frisant la démence, nous le prions d'aller se faire soigner à la pisse de chamelle là où personne ne critiquera le bâchage des femmes ni le port obligatoire du poil abondant dans le bas de la gueule.

Il faut, me souffle-t-on dans le casque, éviter tout amalgame de cette espèce : l'islam des salafistes ne représente que lui-même, il est la détestable exception (qu'il faut combattre évidemment, par le dialogue et la démocratie) d'une confession sinon tout à fait estimable et parfaitement adaptée à la société occidentale, laquelle ferait mieux d'ailleurs de cesser de stigmatiser les musulmans, car cela exacerbe les souffrances et blablabla.

Albert, ta gueule. J'en ai rien à foutre. Je ne veux rien savoir de l'islam en général et en particulier, qui est une pratique exogène, notoirement hostile aux valeurs pour lesquelles sont morts des milliers de gens : la liberté de dire et de faire, celle de débattre et de contester, de contredire, avec des mots dans la bouche et non des couteaux sous la gorge, celle de croire ou non — en Dieu, en Diable, en Bouddha, en Mick Jagger ou en bermuda ! Ils se sont battus pour que l'homme et la femme chez nous puissent se vêtir comme bon leur semble et aller là où l'envie les attire : à la messe, à la plage, au bordel, au cinoche, sans avoir à se justifier auprès d'un barbu à l’œil noir et sourcil froncé qui consultera son catéchisme pour décider si c'est ou non conforme à la doxa et à la volonté du cornichon divin qu'il vénère et craint comme je vénère la merde et crains l'air pur.

Le musulman modéré, c'est le loup blanc dont tout le monde parle et que l'on cherche en vain. On le dit pourtant nombreux !

Où vois-tu, lecteur raisonnable et gentillet, admirateur pleurard des perles humanistes enfilées par Nicolas Domenach — où vois-tu que les musulmans modérés protestent, dans quelles rues désertes de Paris, Rome ou Londres, dans quels libelles à fort tirage ? Quand une voix musulmane ose émettre un semblant de critique envers ses pairs moins modérés, elle l'assortit aussitôt d'une restriction annulant de facto sa critique : « Non, Merah, ce qu'il a fait, ce n'est pas bien, mais ça ne serait pas arrivé si les Juifs arrêtaient de massacrer le peuple palestinien. » Parce que, bien entendu, partout dans le monde, les musulmans en bavent à cause des Juifs qui ont des griffes aux doigts et le nez crochu, comme on nous l'a appris en maternelle. Et quand ils ne tuent pas des enfants, ils les mangent — vivants. Même que c'est vrai : un pote à moi l'a lu sur Twitter. Quand le disque judaïque se raye, on accuse la société « qui ne nous aime pas », « les Français qui sont racistes ». Il ne faut pas attendre d'un musulman qu'il fasse son autocritique : il est parfait, au poil.

Beaucoup de musulmans sont des hypocrites. Les interdits religieux quant à l'alimentation et aux mœurs sont régulièrement bafoués. On le conçoit et on les féliciterait volontiers, n'était que ce gamin qui traite sa « sœur » de pute pour son habillement et son comportement de française, n'est pas le dernier à se goinfrer de porc, à écluser des bières devant le zinc, à écumer les boîtes de nuit, à mater les putes blondes, quand un semblable et bref coup d’œil de la part d'un Céfran sur une Beurette équivaut à signer son arrêt de mort.

Naturellement, un terroriste ne sommeille pas en chaque musulman. Ce serait trop simple. Il est évident qu'une majorité de musulmans ne partage pas la folie djihadiste. Or, ceux-là se taisent. Et nous savons qu'ils se taisent pour éviter l'accusation de tiédeur, de blasphème ou d'apostasie. Impossible donc de savoir au juste combien de musulmans dits modérés se taisent par complicité silencieuse et combien par crainte. En quoi d'ailleurs le modéré prouve-t-il qu'il l'est ? Avant le massacre d'Utøya, le taciturne Breivik était un modéré, alors, puisqu'il se tenait coi. Le silence ne prouve en aucun cas la modération, et il est des silences lourds. Ne rien dire ne signifie pas ne rien penser. Je peux tout aussi bien me taire et attendre l'heure propice. En islam, cette attitude porte un nom : la taqîya...

Je suis catholique, admettons. Une frange extrémiste issue du catholicisme et s'en réclamant perpètre des meurtres en série au nom de Jésus, Marie, etc. Je m'insurge, non ? J'exige au moins des autorités ecclésiastiques qu'elles se prononcent et condamnent les assassins, les excommunient. Et si ce n'est pas le cas, si je sens le clergé un peu tiède, j'entre en dissidence ou je quitte l'Église. En chrétienté, heureusement, chacun dispose de son libre-arbitre. En islam, non. Ceci est dû à l'absence de hiérarchie cléricale digne de ce nom. N'importe quel imam autoproclamé peut, au nom du Coran, décréter une fatwa contre tel énergumène qui aurait vaguement critiqué le Prophète ou ri de sa poire (toute critique équivalant à un blasphème, et tout blasphème étant puni de mort dans un grand nombre de pays).

Voici moins d'un mois, le terroriste al-Baghdadi s'autoproclamait calife dans le nouvel État Islamique instauré dans le Nord de l'Irak et l'Est de la Syrie à la faveur du chaos offert à ces pays par les États-Unis et leur politique étrangère inconséquente. Dans la foulée, l'apprenti-calife, sans rire, réclamait que tous les musulmans lui fassent allégeance. Imaginez le curé de votre paroisse s'emparant, avec son armée d'enfants de chœur et de bigotes en furie, d'un lopin de terre municipal et y instaurant un État Catholique, exigeant que les catholiques du monde entier lui fassent allégeance : rires assurés de Rome à Byzance, immense poilade à tous les étages de l'Église ! Une ambulance serait vite affrétée, les enfants de chœur sermonnés et les bigotes envoyées à l'hospice. Quant à l'intrépide curé, il s'en tirerait avec une tape épiscopale et miséricordieuse sur l'épaule, agrémentée d'un : « Voyons, mon brave... ! » prononcé sur le ton de l'ironie douce-amère et de la sincère affliction.

La posture chrétienne consistant à prier et à ne faire que ça en présence d'un malheur touchant la communauté m'exaspère au plus haut point. Bel aveu d'impuissance ! Un chrétien reçoit une baffe ? Il ne la rend surtout pas, il pardonne, puis il prie. C'est ça, le message chrétien (tout entier issu de la cuisse païenne du stoïcisme philosophique, avec sa devise Sustine et abstine — « Supporte et abstiens-toi »). On te fout sur la tronche ? Prends la mandale et ne réplique pas ! Il y a là quelque chose de sublime, paraît-il. Comme idéal oui, sans doute. Mais que sommes-nous ? Hommes ou peaux à tanner ? Qui peut, en dehors de quelques saintes exceptions, tolérer qu'on porte la main sur lui sans même esquisser un geste naturel de défense ? Eh bien, pas moi. Je ne suis pas et ne veux pas être une sainte exception.

« Nous sommes la civilisation et eux sont les barbares. Ne nous mettons pas à leur niveau ! » Tel est en substance le message rabâché sous nos latitudes devant l'innommable. Autant avouer que cela ne nous concerne pas ! S'ils fustigent, égorgent, lapident et crucifient, devons-nous laisser faire, prier ensuite puis, horreur ! pardonner ? Chercher à comprendre, psychologiser ? Et puis quoi encore ? Une fessée et au lit sans dîner ?

Un pauvre chien endormi près de l'âtre est massacré par son maître sans la moindre raison. C'est de la barbarie. Le même maître contraint de tuer son chien devenu furieux et qui l'attaque ne peut être qualifié de barbare. Il se défend et défend son existence menacée. Ce n'est pas l'heure de chercher à comprendre, mais d'agir. Et en présence d'un chien furieux qui tente de vous happer à la gorge, on n'agit pas à coups de prières ni d'oraisons canines. On frappe, on déglingue ! Et si on retrouve suite à cela des morceaux de chien éparpillés un peu partout, c'est lui qui l'aura cherché, pas vous. Bien sûr, on n'aime pas ça, on n'a nulle envie d'en faire un métier, on préférerait comme tout un chacun s'adonner à des activités moins brutales, mais quand c'est la guerre, ce n'est plus le temps de pleurnicher ni d'éplucher qui sa Bible, qui son Manuel d'Épictète : il faut la faire, et la gagner si Dieu le veut.

Habib, un réfugié chaldéen d'Irak établit à Sarcelles se plaint dans le Figaro : « Nous sommes partis pour fuir les islamistes et nous les retrouvons ici », faisant allusion aux violentes manifestations pro-palestiniennes du week-end dernier. Nous les retrouvons ici... En France ! Ils ne sont pas arrivés ici à vélo pour participer au Tour et vivre-ensemble avec nous dans la joie et la bonne humeur. La plupart sont nés ici, chose déjà fort inquiétante. Ce ne sont pas les mêmes qu'à Mossoul, bien sûr... pas encore ! On commence par hurler contre les Juifs (dans le pays du plus-jamais-ça et de la repentance !), puis à brûler quelques-uns de leurs commerces après un pillage atavique, à tenter de s'en prendre à une synagogue. La République est débordée et les CRS bien moins fiers et forts que devant les poussettes et les fleurettes de La Manif Pour Tous ou du Printemps Français. Ça rassure, vraiment ! Et demain quand ils seront mille fois plus dans cent villes différentes, simultanément, la France aura cessé d'exister, du moins comme état de droit. Et alors, lâchés, les chiens ne se gêneront pas pour être ce qu'ils sont, sans muselière, sans laisse, sans maître. Et où serons-nous alors ? Dans nos églises en train de prier ? Pour finir façon barbecue géant, à la mode d'Oradour ?


1 commentaire:

  1. c'est la première fois que je passe chez vous, votre billet est vraiment excellent et je l'ai relu 2 fois, merci de cet écrit qui fait du bien !

    RépondreSupprimer