Si l'on considère les trois candidats — à savoir Nicolas Sarkozy, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon — qui savent l'ouvrir et ne pas la fermer, qui ont plus que leurs adversaires le vent en poupe — sans doute aussi pour cette raison de bagou, de franc-parler, de brutalité langagière parfois —, on se dit que l'avenir politique, en France, a de la gueule. Au moins ça.
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